Quand une huppe indique l’emplacement

des reliques d’un martyr !

Résistant à l’agression américano-sioniste directe contre le Liban de septembre-novembre 2024, de nombreux jeunes combattants sont tombés martyrs au sud du Liban. Cependant, l’entité sioniste temporaire ne put envahir le Liban comme en 1982 ! Après l’accord de cessez-le-feu (que d’ailleurs, jusqu’à maintenant l’entité sioniste temporaire ne respecte pas), les habitants du sud sont retournés chez eux. Et bien sûr, les familles des martyrs sont parties à la recherche des corps de leurs fils (les fils de la nation) tombés martyrs.

« Cela faisait quatre mois que la famille de Mohammed Rihânî était à la recherche de son corps. Mais en vain. Celui (du moins ce qu’il en restait) de son beau-frère qui était avec lui avait été retrouvé, mais pas le sien.

Des chiens dits « policiers » (ceux qui ont un flair particulièrement développé) avaient été envoyés, mais ils n’avaient rien trouvé.

La région où il était supposé qu’il soit tombé martyr a été labourée … mais en vain.

Il est vrai que les bombardements avaient été terribles, très destructeurs !

La famille avait perdu espoir.

S’il n’y avait pas eu la confirmation de son martyre par les combattants survivants qui étaient avec lui, elle aurait espéré qu’il était encore vivant, enlevé par l’armée d’occupation sioniste.

Elle s’en était remise à Dieu Tout-Puissant.

Une dizaine de jours plus tard, le regard d’une personne, assise à côté de la maison où il était supposé que ce Mohammed était tombé martyr, fut attiré par une très jolie huppe qui se dressait devant elle. Elle ne volait pas. Elle était là, fixe.

La personne se leva pour essayer de l’attraper, tant elle était jolie !

Alors la huppe fit un petit saut, volant à basse altitude.

La personne fit de même un pas dans sa direction et la huppe continua son « jeu » de petits sauts à basse altitude, comme si elle voulait l’entraîner quelque part ou lui indiquer quelque chose.

Chaque fois que la personne était sur le point de l’attraper, elle s’envolait et s’arrêtait un petit peu plus loin, comme si elle lui disait : « Suis-moi ! ».

Ce petit jeu continua jusqu’à arriver à un endroit.

L’oiseau s’y arrêta un temps.

A l’approche de la personne, la huppe s’envola.

La personne trouva, en cet endroit, un débris d’os, puis, en fouillant dans le sol, des restes d’un cadavre…

Elle prévint les autorités compétentes qui prirent les ossements et les restes du corps humain et après leur analyse, notamment de l’ADN, il s’est avéré qu’il s’agissait des restes du cadavre du martyr Mohammed Rihânî.

La famille put ainsi effectuer la prière sur ce qu’il restait de son corps et l’enterrer en toute quiétude. »

(Témoignage recueilli sur place)

En effet, après cette guerre, beaucoup de corps (jusqu’à maintenant) n’ont pas été retrouvés tant les bombes (américaines) étaient destructrices, au point de faire disparaître les corps des martyrs (sans parler des destructions massives des maisons !). De plus, l’occupant a procédé plusieurs fois à des enlèvements de Libanais (vivants et même morts) sans en référer à quiconque.

Parfois, la Providence divine intervient pour retrouver les reliques d’un martyr et lui faire une sépulture comme il le mérite. Ici, ce fut par l’intervention d’une huppe. Parfois, c’est par inspiration faite à une mère après son appel au secours et son imploration auprès du Messager de Dieu^(s) et de sayyida az-Zahrâ’^(p) pour qu’ils interviennent auprès de Dieu..

www.lumieres-spirituelles.net     No138 – Rajab & Sha‘bân 1447H – Janvier-Février 2026